Ah, le Black Friday… cette grande foire mondiale de la frénésie consumériste, où l’on se persuade qu’on fait de “bonnes affaires” pendant qu’on vide nos comptes (et qu’on remplit les décharges).
Chaque année, c’est la même scène : des files d’attente devant les magasins, des paniers virtuels qui débordent, et des “craquages” qu’on justifie avec un petit “bah à ce prix-là, ça aurait été dommage de ne pas le prendre !”
Et pourtant, la vraie affaire, ce serait peut-être… de ne rien acheter.
Parce que non, le bonheur ne se trouve pas dans une promo à -70%
Ce que je vois, moi, derrière le Black Friday, c’est une énorme machine à frustration.
On pousse à la consommation, on crée le manque, on entretient le réflexe d’achat impulsif.
Mais quand la frénésie retombe, il reste quoi ? Des objets sans âme, des vêtements mal taillés, des gadgets qui finissent dans un tiroir… et ce petit goût amer de “pourquoi j’ai acheté ça déjà ?”
Le bonheur, le vrai, ne s’emballe pas dans du plastique.
Il se fabrique lentement, à coups de choix conscients, de belles rencontres, d’objets qui ont une histoire, d’artisans qui mettent leur cœur dans ce qu’ils créent.
🌱 Chez Designer de Bonheur, on préfère le Slow Friday
Pas de soldes, pas de rabais tape-à-l’œil, pas de promesses creuses.
À la place : des valeurs.
Celles d’un design durable, responsable, où chaque pièce trouve naturellement sa place dans un intérieur pensé pour durer.
Un intérieur qui respire, qui apaise, qui inspire.
Alors non, je ne participerai pas à la gabegie.
Parce qu’aimer la déco, ce n’est pas collectionner les objets : c’est choisir ceux qui nous ressemblent, ceux qui traversent le temps à nos côtés.
C’est refuser la précipitation, pour préférer la création.
💡 Et si on transformait le Black Friday en Bright Friday ?
Un vendredi lumineux, où l’on fait un pas de côté.
Où l’on prend le temps de trier, de réparer, de transmettre.
Où l’on soutient les artisans, les créateurs, les petites marques qui travaillent bien, sans crier “promo” à tout va.
Et surtout, où l’on se rappelle que le bonheur ne s’achète pas : il se cultive.
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